Aux quatre coins de l’Europe, il rencontre divers artistes et intègre en 2015 une compagnie des
arts de la rue dont le spectacle se nomme «Zéro Degré».
Ce spectacle, mêlant freerun, musique et déambulation pose la question de la frontière et de
l’architecture dans l’espace urbain.
1992 - 2015
Né en région Parisienne, Vincent Giannesini alias « Zenzel » est sorti diplômé de l’École des Arts
de La Sorbonne en section Arts Plastiques, en 2014.
C’est à la fin de ce processus d’apprentissage qu’il commence son travail sur l’univers du « corps
en mouvement » notamment par la création de photographies en collaboration avec des artistes
de divers horizons (danseurs, circassiens, freerunners,… ).
2024 - 2025
En 2024, il sort aux éditions "Images Plurielles" le livre "D’en bas personne ne nous voit".
9 années d'un travail photographique et textuel relatant sa rencontre avec de jeunes freerunners.
Les suivants sur les toitures parisiennes notamment, il a documenté leurs histoires. Questionnant les principes de la liberté, de l'identité ou encore du danger.
Fort de sa connaissance du "Parkour freerun", Zenzel est contacté par Jean François Perfetti (Directeur des Productions Artistiques - Cérémonie d'Ouverture des Jeux Olympiques chez Paname 24) & Thomas Jolly (Directeur Artistique des cérémonies) pour mettre en mouvement le porteur de flamme masqué de la cérémonie des jeux olympiques de Paris.
Pour cette cérémonie, Zenzel met ainsi en scène 9 athlètes de Parkour qui représentent « le porteur de la flamme olympique ». Des toits parisiens, aux quais de la Seine...
2015 - 2019
2019 - 2023
Il se fait une place en tant que réalisateur dans le domaine de la musique et de la publicité.
Ainsi, il réalise des clips en collaboration avec des artistes musicaux tels qu’Aloïse Sauvage, Yaël Naim, ou encore Barbara Pravi mais aussi des campagnes de communications artistiques pour des structures comme la Fondation Louis Vuitton, la marque Aigle ou encore le grand magasin la Samaritaine.
2023
En 2023, Zenzel renoue avec l’art contemporain et sa recherche autour des corps. En juin, il investit notamment la ville de Bruxelles dans l'exposition "Arabesque'.
Une exposition photographique mêlant le corps du circassien et celui de l’architecture d’Art Nouveau Bruxellois en collaboration avec la compagnie «Back Pocket».